SELECTION 23
https://informationisbeautiful.net/visualizations/based-on-a-true-true-story/
out of the gafA world - but on youtube. CQFD.
L'art de capter l'instant.
"Je me promène avec ma fille de quatre ans
autour d'un petit lac artificiel
dans cette ville, elle-même assez artificielle,
de Miami. Main dans la main, mais chacun
plongé dans ses pensées.
Tout ce qu'on voulait c'était partager ce moment.
Soudain, je l'ai vue se pencher vers une fleur.
Elle la respire avec une telle force
que je m'attendais à voir la fleur s'infiltrer en elle.
Tout cela a duré dix secondes, mais j'ai eu
l'impression que si on avait filmé la séquence
et qu'on la repassait très au ralenti,
on pourrait distinguer chaque étape de la scène.
Ce qui nous permettrait de constater sa puissance
de jeune félin dans la précision de chacun
des gestes posés. Mais pendant cet instant
qui a duré une éternité pour la fleur j'ai eu
le temps d'apercevoir le visage étrangement calme
de ma fille."
Dany Laferrière
L'Art presque perdu de ne rien faire.
SELECTION 22.
Vu "La Douleur" dont vous pouvez vous spoilez la face comme à l'habitude sur la bande-annonce. Je lui donne un bon 6.5/10.
"Wonder Wheel" 7/10
au gré du vent
Ce qu'il y a de puissant dans la rencontre, c'est son caractère fugace. J'ai croisé des curieux du monde entier, un court instant. Et sur l'année qui s'achève, des yeux sont venus de tous les continents pour interroger mon regard.
Bilan 2017 des nationalités les plus friandes de Sento : )
SELECTION 21. Crapauds fous et Rats vains
SELECTION 20. Rest.
Suivre l'inspiration
Ma période Deviantart et Flickr étant derrière moi, j'ai la mood Instagram pour le moment. En mode puzzle d'images, plein de monde qui me connaît ni d'eve ni d'adam, pas trop de hache-tague t'inquiète j'sais pas bien faire; mais du noir et blanc, du banal quotidien de voyageur à durée indeterminée.
Allez voir par la-bas les petites histoires du passé qui donne à mon présent ce sucre pétillant...
SELECTION 19.
https://www.arretsurimages.net/emissions/2014-01-03/Revenu-de-base-On-sacrifie-notre-bonheur-sur-l-autel-de-l-emploi-id6379
le syndrôme des planètes de l'oeil gauche
de l'autre côté du miroir
ENGLISH VERSION
I have few good photos of me. Photos that are worth it. And up to date. I guess it’s caused by our new lifestyle, full of arrival and departure. A serie of photos where I don’t mind « playing the game » of having cool photos of me that I could use here and there. The only new I have are some autoportrait, euh sorry; selfies; or a few of friend that are well equiped, but I’m not sure I like myslef very much on those - it’s always the same, you have to like a bit the subject you shoot to show their real beauty. Only a few are worth to print at the end. I have a few photos where I’m happily posing, on demand, for a special occasion.
And then, my love Marie had the good idea to put trough two order, to celebrate ( in 2015 we left for a trip with no return ticket in NZ). Her choice stopped on two photographer she liked, a order with Alexandra Sophie and a other with Callibella. Being ourself photographer, I learned a lot - of the exchange (or not) before the session, of the energy felt by the person behind the camera to give a good environnement for her clients - becoming a subject whose directed, moved and respected. Until the delevery, not long afterward. You end up giving time to time, to the magic of selection and the time of retouching the choosen one. We loved the result, smiled, we saw ourself differently, we saw our thousand faces, we learn on the way, we turned a chapiter of our couple story and we’ll surely do it again for a next occasion. Because it is what it’s about, making ourself happy.
We decided going to the « Tete d’or » park, and in a far far away countryside, a space with the horizon everywhere, trains and a little boardgame… our universe - Nature and smiles. Marie’s make-up and hair was in the good hands of Aline Le, whose always welcome on my shooting since, because I am aware that these littles things make a difference.
J'ai peu de photos de moi. J'ai peu de photos corrects de moi. Des photos qui valent la peine. Et récentes. J'imagine que c'est dû à notre nouveau rythme de ma vie, ponctuée de départs et de retours. Une série de photos où je n'ai rien contre "jouer le jeu pour une fois" d'avoir de cools photos de moi que je pourrai utiliser ici et là. Les seules récentes sont des autoportraits euh pardon, des selfies; ou quelques unes de potes qui sont plutôt bien équipés mais pas sûr que je m'aime bien sur leurs photos - c'est toujours pareil, il faut aimer un peu les sujets qu'on shoote pour montrer leur véritable beauté. Peu méritent d'être imprimées au final. J'ai une poignée de photos où je pose de bon coeur, sur commande, pour une occasion particulière.
Et puis j'en ai eu. Quand Marie a eu la bonne idée de passer deux commandes, pour marquer le coup (en 2015 on partait pour un trip à durée indeterminée en NZ). Son choix a porté sur deux photographes coup de coeur, une commande pour Alexandra Sophie et une à Callibella. En tant que photographe, déjà, ça m'a appris beaucoup - des échanges (ou pas) avant la séance photo, de l'énergie ressentie par la personne derrière l'appareil pour mettre à l'aise ses clients - devenir un sujet photographié, dirigé, trimballé, mis à l'aise. Jusqu'à la remise des photos quelque temps après. Et puis tu laisses du temps au temps, à la magie du reportage à être sélectionné, et le temps passé à retoucher les pépites qui sortent du lot. On a adoré le résultat, souri, on s'est vus autrement, on a vu nos milles visages, on a appris au passage, on a tourné un chapitre dans notre histoire de couple, on se réoffrira une séance volontiers à l'occasion. Parce que c'est bien de ça qu'il s'agit, de se faire plaisir.
Nous avons choisi le parc de la tête d'or, et un coin avec de l'horizon, des trains, un ptit jeu de société (notre univers) de la nature et des sourires. Marie s'est fait pomponnée par Aline Le avec qui est toujours la bienvenue sur mes séances à présent, car je sais ce que ça fait d'avoir le détail esthétique qui fait la différence...
ENGLISH VERSION
I have few good photos of me. Photos that are worth it. And up to date. I guess it’s caused by our new lifestyle, full of arrival and departure. A serie of photos where I don’t mind « playing the game » of having cool photos of me that I could use here and there. The only new I have are some autoportrait, euh sorry; selfies; or a few of friend that are well equiped, but I’m not sure I like myslef very much on those - it’s always the same, you have to like a bit the subject you shoot to show their real beauty. Only a few are worth to print at the end. I have a few photos where I’m happily posing, on demand, for a special occasion.
And then, my love Marie had the good idea to put trough two order, to celebrate ( in 2015 we left for a trip with no return ticket in NZ). Her choice stopped on two photographer she liked, a order with Alexandra Sophie and a other with Callibella. Being ourself photographer, I learned a lot - of the exchange (or not) before the session, of the energy felt by the person behind the camera to give a good environnement for her clients - becoming a subject whose directed, moved and respected. Until the delevery, not long afterward. You end up giving time to time, to the magic of selection and the time of retouching the choosen one. We loved the result, smiled, we saw ourself differently, we saw our thousand faces, we learn on the way, we turned a chapiter of our couple story and we’ll surely do it again for a next occasion. Because it is what it’s about, making ourself happy.
We decided going to the « Tete d’or » park, and in a far far away countryside, a space with the horizon everywhere, trains and a little boardgame… our universe - Nature and smiles. Marie’s make-up and hair was in the good hands of Aline Le, whose always welcome on my shooting since, because I am aware that these littles things make a difference.
peu importe
Cambodia
le joli-mai
Pas trop eu le temps de blogguer ces dernières semaines, occupé à préparer ma saison de mariage, d'aller à la campagne, de quitter un taf d'en reprendre un, de préparer une journée où j'accompagnerai des curieux qui ferment les yeux dix heures durant (à suivre!!) et de relancer mon instagram qui était dans le coma depuis que j'ai réussi ma désintox d'iphone (pour ceux qui veulent poster sans smartphone, il faut télécharger Gramblr)
Bref, retour au clip. Un premier choupinou d'Albin de la Simone avec un chouette langage corporel et chanté.
Bon cette fois je vais pas vous inonder de clips, mais d'un docu qui me parle à fond les ballons, faut dire que j'ai été Scout, au cas où vous le sauriez pas. Et que quand on a été scout, on reste scouts toujours, toi-même tu sais. Que ceux qui ont déjà fait l'amour avec la nature regardent ce film passionnant.
Au passage, j'ai découvert cette chaîne youtube hier, et j'ai hâte d'avoir du temps pour voir tous leurs reportages.
Voilà c'est tout, c'est mai, on se retrouve après un tournant historique qui aura bientôt (pas) lieu.
SELECTION 18.
Noires et blanches passantes
Bloc
Tombé ce soir nez à nez avec des fantômes. 8 pour être précis. Deuxième rencontre avec du Buto Je suis scotché, zenifié. Leur salut est le plus beau salut de fin jamais ressenti; d’autant plus avec l’effet disparition de la chute.
Maison de la Danse à Lyon - SANKAI JUKU - Meguri - 2015 - 8 danseurs - Chorégraphie, conception, direction Ushio Amagatsu - Musique Takashi Kako, Yas-Kaz, Yoichiro Yoshikawa - Scénographie Kazuhiko Nakahara - Lumière Satoru Suzuki
Fin janvier.
J'ai profité d'une place de cinéma suspendue au CNP Terreaux pour aller voir un film japonais dérangeant.
8/10.
Belle mise en scène, personnages profonds, on y croit.